En 1954, Debord et ses potes écrivaient dans Potlatch :"Un des plus beaux sites spontanément psychogéographiques de Paris est actuellement voie de disparition. La rue Sauvage dans le XIIIème arrondissement, qui présentait la plus bouleversante perspective nocturne de la capitale, placée entre els voies ferrées de la voie d'Austerlitz et un quartier de terrains en vague au bord de la Seine est depuis l'hiver dernier encadrée de quelques unes de ces constructions débilitantes que l'on aligne dans nos banlieues pour loger le sgens tristes. (...) Nous ne sommes pas attachés au charme des ruines. Mais les casernes civiles qui s'élèvent à leur place ont une laideur gratuite qui appel les dynamiteurs."
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